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Les discrètes vertus de la corruption

Koenig Gaspard
Date de parution 14/10/2009
EAN: 9782246706717
Disponibilité Disponible chez l'éditeur
S'il est un phénomène universellement répandu, traversant les époques et les sociétés avec son lot constant de scandales et d’indignation, c'est bien la corruption. Les journalistes en trouvent chaque jour un nouvel exemple, et les livres d'histoire ... Voir la description complète
Nom d'attributValeur d'attribut
Common books attribute
ÉditeurGRASSET
Nombre de pages288
Langue du livreFrançais
AuteurKoenig Gaspard
FormatOther book format
Type de produitLivre
Date de parution14/10/2009
Poids275 g
Dimensions (épaisseur x largeur x hauteur)1,80 x 13,00 x 20,50 cm
S'il est un phénomène universellement répandu, traversant les époques et les sociétés avec son lot constant de scandales et d’indignation, c'est bien la corruption. Les journalistes en trouvent chaque jour un nouvel exemple, et les livres d'histoire en portent partout la trace. Pourtant, tous les philosophes semblent l'avoir oubliée de leurs écrits. Tous, sauf un : Bernard Mandeville, auteur anglais du début du XVIIIe siècle, et tant soit peu provocateur. Gaspard Koenig le sort de l'oubli. En s'appuyant sur ses différents écrits, notamment la « fable des abeilles », par laquelle Mandeville établit que « les vices privés font les vertus publiques », Gaspard Koenig part sur les traces de la corruption. Il parcourt des domaines aussi divers que la littérature, l'histoire, la philosophie, l'ethnologie, le cinéma ou l'art contemporain. Il rencontre ceux qui la pratiquent, de Talleyrand à François Mitterrand : ceux qui la critiquent, de Juvénal à Denis Robert : ceux qui la subliment, de Balzac à Francis Ford Coppola. C'est en apprenant à la connaître que la corruption dévoile ses vertus. Des vertus discrètes, que les bien-pensants nous ont appris à ignorer, mais essentielles, sans lesquelles les économies stagneraient, les sociétés se déliteraient, et les hommes resteraient des idéologues stériles. Ce qu’on appelle la corruption ne se résume pas à des affaires de pots-de-vin. C'est une question de vie et de mort, qui met en jeu aussi bien la nature du Mal que la survie de l'homme. Une question qui nous concerne tous.