Traitement en cours...
Fermer la notification

Toutes nos lignes téléphoniques...

sont actuellement en dérangement du fait de l'opérateur (SFR), qui nous dit mettre tout en œuvre pour rétablir la situation dans les plus brefs délais mais jusqu'ici n'a pas réussi à le faire.
Nous restons cependant à votre disposition par d'autres moyens pour vous informer.
Si vous souhaitez connaître les dates estimées d’expédition des titres que vous avez commandés, pensez à simplement consulter le détail de vos commandes sur side.fr.
Si vous avez besoin d’une autre information, vous pouvez, selon votre urgence, écrire à notre service clients à france@side.fr ou appeler directement votre représentant ou appeler le 06 34 54 96 63, le numéro d'urgence temporaire que nous avons mis en place en attendant de retrouver notre accueil téléphonique habituel.

Afficher la notification

Pour l'honneur

Léotard François
Date de parution 28/10/1997
EAN: 9782246560616
Disponibilité Disponible chez l'éditeur
On ne devrait pas répondre à l’imposture. On devrait se contenter du mépris. Mais quand l’insulte est portée à son plus haut niveau, celui de l’assassinat par militaires interposés, peut-on laisser les choses en l’état ? Peut-on même laisser la justi... Voir la description complète
Nom d'attributValeur d'attribut
Common books attribute
ÉditeurGRASSET
Nombre de pages120
Langue du livreFrançais
AuteurLéotard François
FormatOther book format
Type de produitLivre
Date de parution28/10/1997
Poids140 g
Dimensions (épaisseur x largeur x hauteur)0,00 x 11,80 x 18,80 cm
On ne devrait pas répondre à l’imposture. On devrait se contenter du mépris. Mais quand l’insulte est portée à son plus haut niveau, celui de l’assassinat par militaires interposés, peut-on laisser les choses en l’état ? Peut-on même laisser la justice dire seule ce qu’elle avait à dire ? Je sais que le chemin de la colère n’est pas celui de la justice. Mais je l’ai emprunté pendant quelques jours. Pour tenter d’exprimer mon dégoût, mon inquiétude, ma révolte aussi. Je l’ai fait au nom de tous ceux qui m’ont écrit simplement parce qu’ils aimaient la République et devinaient qu’elle avait été salie.