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Revue internationale et stratégique n° 104 (4/2016) Énergie, transitions et recompositions

Date de parution 14/12/2016
EAN: 9782200930721
Disponibilité Manque temporaire
L’objectif de ce numéro est d’interroger les conséquences géopolitiques de l’abondance de ressources énergétiques au niveau mondial. Depuis la Première Guerre mondiale, l’importance de disposer de ressources pétrolifères et d’en assurer la sécurisati... Voir la description complète
Nom d'attributValeur d'attribut
Common books attribute
ÉditeurARMAND COLIN
Nombre de pages200
Langue du livreFrançais
FormatPart-work (fascículo)
Type de produitLivre
Date de parution14/12/2016
Poids357 g
Dimensions (épaisseur x largeur x hauteur)1,00 x 17,00 x 24,50 cm
Énergie, transitions et recompositions
L’objectif de ce numéro est d’interroger les conséquences géopolitiques de l’abondance de ressources énergétiques au niveau mondial. Depuis la Première Guerre mondiale, l’importance de disposer de ressources pétrolifères et d’en assurer la sécurisation a renforcé le lien entre la quête de la ressource énergétique et les relations internationales. Les années 1930 et la Seconde Guerre mondiale renforceront cette dynamique et permettront même de structurer les relations internationales. Les accords d’Achnacarry de 1928, tout comme l’accord de la ligne rouge de 1931 ou le pacte du Quincy de 1945 apporteront, en effet, des éléments structurants aux relations entre pays consommateurs et producteurs de pétrole. Par la suite, la création de l’Organisation des pays exportateurs de pétrole (OPEP), en 1960, constituera une rupture, symbolisant l’idée que la détention d’une ressource énergétique peut être utilisée comme une arme politique et un instrument de pouvoir. La construction européenne est particulièrement représentative de la prégnance de l’énergie dans les rapports entre États. En effet, c’est autour de ce facteur que se structurent les premières tentatives d’intégration, avec notamment la Communauté économique du charbon et de l’acier (CECA), en 1952, ou la Communauté européenne de l’énergie atomique (Euratom), en 1957. En 1973, la prise de pouvoir de l’OPEP sur les marchés pétroliers trouve sa réponse, au sein des pays consommateurs, dans la création de l’Agence internationale de l’énergie (AIE) et la mise en place d’une obligation de réserves pétrolières stratégiques.Tous ces éléments forment un continuum historique liant énergie et diplomatie, que ce soit au niveau national, régional ou international. L’abondance de ressources fossiles et les prix bas observés depuis quelques années dans un contexte de transition énergétique mondial invitent à réfléchir sur les évolutions possibles en matière de géopolitique des pays producteurs et des pays consommateurs. Ce numéro de la RIS doit amener le lecteur à intégrer le caractère fondamentalement polysémique de la sécurité énergétique et la complexité des rapports géopolitiques liés à l’énergie : quelles menaces pour les pays producteurs ? quelles opportunités économiques et stratégiques de diversification ? quelles conséquences pour la géopolitique internationale ? quels nouveaux équilibres régionaux ?