Traitement en cours...
Fermer la notification

Toutes nos lignes téléphoniques...

sont actuellement en dérangement du fait de l'opérateur (SFR), qui nous dit mettre tout en œuvre pour rétablir la situation dans les plus brefs délais mais jusqu'ici n'a pas réussi à le faire.
Nous restons cependant à votre disposition par d'autres moyens pour vous informer.
Si vous souhaitez connaître les dates estimées d’expédition des titres que vous avez commandés, pensez à simplement consulter le détail de vos commandes sur side.fr.
Si vous avez besoin d’une autre information, vous pouvez, selon votre urgence, écrire à notre service clients à france@side.fr ou appeler directement votre représentant ou appeler le 06 34 54 96 63, le numéro d'urgence temporaire que nous avons mis en place en attendant de retrouver notre accueil téléphonique habituel.

Afficher la notification

Une histoire de la frivolité

Melchior-Bonnet Sabine
Date de parution 16/10/2013
EAN: 9782200255725
Disponibilité Disponible chez l'éditeur
La frivolité est l’art de ne rien prendre au sérieux. Chaque époque a sa façon de jouer avec la frivolité pour dissiper l’ennui ou escamoter les ravages de la mort, la Grande Faucheuse. Traditionnellement, l’Église la condamne parce qu’elle fait oubl... Voir la description complète
Nom d'attributValeur d'attribut
Common books attribute
ÉditeurARMAND COLIN
Nombre de pages192
Langue du livreFrançais
AuteurMelchior-Bonnet Sabine
FormatHardback
Type de produitLivre
Date de parution16/10/2013
Poids916 g
Dimensions (épaisseur x largeur x hauteur)1,70 x 20,50 x 26,70 cm
La frivolité est l’art de ne rien prendre au sérieux. Chaque époque a sa façon de jouer avec la frivolité pour dissiper l’ennui ou escamoter les ravages de la mort, la Grande Faucheuse. Traditionnellement, l’Église la condamne parce qu’elle fait oublier à l’homme, séduit par les Vanités, de travailler à son Salut. Tandis que le philosophe la considère avec indulgence : « pour nous consoler de nos innombrables misères, Dieu nous a faits frivoles », se réjouissait Voltaire !La frivolité est d’abord une figure féminine. Parce qu’elles ont été écartées pendant des siècles des choses dites « importantes » et rivées à leur miroir, les femmes en deviennent l’incarnation dans une société dominée par les hommes ; mais c’est oublier la coquetterie des mignons et des dandys !Privilège d’une aristocratie oisive, la frivolité se complaît dans les fêtes galantes du XVIIIe siècle, le badinage et les jeux d’esprit, et envahit les arts. Elle survit joyeusement aux révolutions et aux guerres. Dans une société démocratique et individualiste qui consomme et gaspille, elle se niche dans les caprices de la mode, et dans la multiplication des objets au service du bien vivre. Comment se passer de ces petites bulles de bonheur qui soulagent le quotidien ?