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Adieu à l'esthétique

Schaeffer Jean-Marie
Date de parution 13/05/2000
EAN: 9782130500988
Disponibilité Disponible chez l'éditeur
Les années 90 ont vu une renaissance remarquable des réflexions philosophiques consacrées à l'esthétique. Et d'autant plus étonnante que ces débats ont trouvé, au moins momentanément, un écho public au-delà de la sphère de la philosophie professionne... Voir la description complète
Nom d'attributValeur d'attribut
Common books attribute
ÉditeurPUF
Nombre de pages80
Langue du livreFrançais
AuteurSchaeffer Jean-Marie
FormatPaperback / softback
Type de produitLivre
Date de parution13/05/2000
Poids110 g
Dimensions (épaisseur x largeur x hauteur)0,70 x 13,50 x 21,00 cm
Les années 90 ont vu une renaissance remarquable des réflexions philosophiques consacrées à l'esthétique. Et d'autant plus étonnante que ces débats ont trouvé, au moins momentanément, un écho public au-delà de la sphère de la philosophie professionnelle, notamment dans ce qu'il est convenu d'appeler "le monde de l'art". De là à croire en une renaissance de la doctrine esthétique elle-même conçue comme une discipline philosophique fondatrice, il n'y a qu'un pas que certains philosophes se sont empressés de franchir. En s'attachant à une analyse non préconçue des faits esthétiques, les réflexions des années 90 ont mis en pièces les présupposés essentiels de ce qui avait constitué jusque là le ciment unificateur de l'esthétique conçue comme doctrine philosophique. De cette analyse il découle aussi que le jugement de goût n'est ni le noyau ni le but de la relation esthétique, il en est simplement une conséquence éventuelle. Si le jugement esthétique est la traduction objectivante de la relation appréciative, il ne saurait être que subjectif, au sens d'individuel. Bref comme toute réalité humaine, le champ esthétique est de manière indissoluble un lieu de consensus et de dissenssion. Et cette tension qui le maintient vivant. L'objet de cet essai est de montrer le caractère illusoire d'une telle croyance ou même d'un tel espoir.