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Correspondance intégrale

Freud Sigmund, Bonaparte Marie, Amouroux Rémy, Mannoni Olivier
Date de parution 26/10/2022
EAN: 9782080264572
Disponibilité Disponible chez l'éditeur
En 1925, la princesse Marie Bonaparte se rend à Vienne pour consulter le Pr Sigmund Freud. Cette rencontre sera "le plus grand événement de ma vie", note l'arrière-petite-nièce de Napoléon Ier, princesse de Grèce et de Danemark. Durant quatorze année... Voir la description complète
Nom d'attributValeur d'attribut
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ÉditeurFLAMMARION
Nombre de pages1084
Langue du livreFrançais
AuteurFreud Sigmund, Bonaparte Marie, Amouroux Rémy, Mannoni Olivier
FormatPaperback / softback
Type de produitLivre
Date de parution26/10/2022
Poids1080 g
Dimensions (épaisseur x largeur x hauteur)3,50 x 15,50 x 24,00 cm
1925-1939
En 1925, la princesse Marie Bonaparte se rend à Vienne pour consulter le Pr Sigmund Freud. Cette rencontre sera "le plus grand événement de ma vie", note l'arrière-petite-nièce de Napoléon Ier, princesse de Grèce et de Danemark. Durant quatorze années, ils échangeront près de neuf cents lettres jusqu'à la mort du fondateur de la psychanalyse, en 1939. Conservé à la bibliothèque du Congrès à Washington, cet ensemble de lettres est le dernier grand corpus de correspondance freudienne encore inédit. Passionnante de bout en bout, foisonnant d'informations sur l'introduction de la psychanalyse en France, cette correspondance raconte un monde appelé à disparaître au coeur duquel deux protagonistes des plus étonnants évoluent. Car entre la princesse venue pour soigner sa dépression et l'un des savants les plus influents de son siècle, une amitié naît, qui dépasse bientôt le cadre de l'analyse. Leurs échanges donnent à voir un Freud tour à tour séduit, amusé, parfois lassé de cette patiente qui n'a de cesse de vouloir vivre pleinement sa vie amoureuse et questionne les conceptions freudiennes sur la femme à une époque où la quête du plaisir féminin reste profondément subversive. "La dernière des Bonaparte", comme elle aimait à se qualifier, loin d'être la disciple dévote que l'on a parfois décrite, témoigne au fil des pages d'uneliberté de pensée audacieuse. Quels que soient leurs désaccords, Freud verra en elle une élève loyale. De fait, elle ne le trahira jamais et mettra sa fortune au service de la Société psychanalytique de Paris (SPP), qu'elle contribua à créer et, avec l'aide de nombreux soutiens, se portera à son secours pour l'aider à quitter l'Autriche nazie en 1938.