Ce qui ne me tue pas, nous rend plus forts

Je souhaiterais partager avec vous un peu de ce moment qui est un mélange de joie, de peine, d’amour et d’épreuves traversées avec ma famille et mes proches. Je voudrais vous démontrer que le fameux proverbe de Nietzsche qui disait « ce qui ne me tue pas me rend plus fort » est bien vrai et, en ce qui concerne ma famille, je dirais « ce qui ne me tue pas, nous rend plus forts ».Mon existence n’a pas débuté avec cette maladie. Aussi, laissez-moi vous raconter cette partie de ma vie, de notre vie, la construction, la force vive qui nous permet de nous battre contre toutes les épreuves.Dans l’objectif d’aider, je l’espère, à de meilleures connaissance et compréhension de la maladie de Parkinson, j’ai décliné mon témoignage dans ce livre.