suivi de Question politique, question psychiatrique, six notules
Demander aux dénommés psys - les psychiatres, les psychanalystes, les psychologues cliniciens - de se prononcer sur la déficience politique des présentes décennies, c'est leur imposer une recherche élémentaire. C'est les voir se diriger, avec la clinique du psychisme comme boussole et l'inquiétude comme aiguillon, vers des questions d'ordre anthropologique telles qu'elles sont affectées, et parfois rendues méconnaissables, par « la folie politique ordinaire ».Jean-Pierre Guillemarre, ancien praticiende Centre médico-psycho-pédagogique.Pédopsychiatre.