Aurelie IV donne corps aux émotions silencieuses, aux souffrances dissimulées dans les non-dits. À chaque page, la force d'une séparation se déploie, celle d'une monitrice disparue, laissant derrière elle un vide insondable. La douleur de l'absence se mêle à une douce mélancolie, et chaque mot devient le reflet d'une tristesse profonde. Seule l'écriture, véritable exutoire, offre un souffle de liberté, apaisant l'âme tourmentée et allégeant le fardeau du chagrin. Une histoire qui pourrait tout aussi bien être la vôtre.