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Le Bidasse et l'Instit

Le Blond Yves, Rosselli Mario
Publication date 27/10/2014
EAN: 9791029001406
Availability Available from publisher
Deux jeunes de vingt ans confrontés à une Algérie nouvelle et dichotomique qui se cherche. Des officiers généraux résolus à la garder française, et des soldats qui se demandent ce qu’ils font là. Le général de Gaulle au double langage. Un peuple auto... See full description
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Common books attribute
PublisherCHAPITRE.COM
Page Count122
Languagefr
AuthorLe Blond Yves, Rosselli Mario
FormatPaperback / softback
Product typeBook
Publication date27/10/2014
Weight196 g
Dimensions (thickness x width x height)0.80 x 15.00 x 23.00 cm
Deux jeunes de vingt ans confrontés à une Algérie nouvelle et dichotomique qui se cherche. Des officiers généraux résolus à la garder française, et des soldats qui se demandent ce qu’ils font là. Le général de Gaulle au double langage. Un peuple autochtone que l’on dit français mais dont les individus n’ont pas les mêmes sentiments ni surtout les mêmes droits. Une minorité qui se dresse en se réclamant de la Déclaration des Droits, et en appelle à l’opinion internationale, dont une Amérique hypocrite, elle-même impérialiste en Indochine... Près d’un million de petites gens qui vivent simplement, Chrétiens, juifs, musulmans. Une guerre dont on ne veut pas dire le nom, pudiquement dénommée « les événements d’Algérie ». Mario, bidasse dans ce tourbillon, en plein « bled », puis à Constantine, qui en reviendra l’âme profondément blessée. Les pieds-noirs, dont la plupart des enseignants ont suivi l’exode en Métropole, de gré mais bien plus souvent de force (la valise ou le cercueil proclame l’OAS...). Un beau jour de l’été 1992, Yves entend à la radio l’appel lancé par le ministère de Affaires Algériennes pour recruter des enseignants en remplacement des pied-noirs. C’est dans ce contexte qu’Yves, jeune bachelier, y part comme instituteur. Il y restera cinq ans, au cours desquels il commencera parallèlement sa formation universitaire à l’Université d’Alger. Bien accueilli, car les Algériens font une distinction nette entre les colons pied-noirs dont certains, petits fonctionnaires, commerçants ou paysans, sont restés et vivent en bonne intelligence avec les autochtones, et les « Français de France », qui avaient voté massivement « oui » à l’indépendance de l’Algérie, il tombe amoureux de ce pays.