Pour que la surdose numérique détruise moins de vies
Aujourd’hui, quatre-vingts pour cent de la population mondiale possède un smartphone, avec pléthore d’applications, de telle sorte qu’il est devenu rare de n’avoir rien à faire et de s’ennuyer. On passe en moyenne près de quatre heures par jour, en semaine, sur son smartphone, uniquement pour des usages personnels. Ces heures sont prélevées sur le sommeil et la vie sociale.Depuis plus de dix ans, le CREDIR, une équipe interdisciplinaire d’experts du monde du travail, avec nombre de médecins, observe une forte poussée des cas d’épuisement, souvent liés à des usages numériques excessifs, tant dans la vie privée que professionnelle.EN FINIR AVEC LA SURDOSE NUMÉRIQUE, AVANT QU’IL NE SOIT TROP TARD !Mêlant de nombreux exemples réels, des analyses pratiques et des développements scientifiques, Le Cri-rêve des épuisés met en évidence les liens entre la surdose digitale, l’épuisement, la désocialisation et la violence. Il lance une alerte sur ce phénomène. C’est même un cri. Mais, au-delà du cri, l’ouvrage partage le rêve de continuer à trouver des solutions pour prévenir d’énormes gâchis humains individuels et collectifs et propose des actions pour limiter les catastrophes.Docteur en sciences de gestion, praticien-chercheur et conférencier, Jean-Denis Budin est le fondateur du CREDIR, une association à but non lucratif dédiée à accompagner tous les professionnels dans leur parcours. Ancien dirigeant d’entreprises internationales, il a choisi – à la suite d'un burn-out sévère – de mener une vie d’accompagnement bienveillant et d’anticipation de l’évolution des vies globales. 5 euros de la vente du livre seront reversés au CREDIR.
