Le Maroc connaît ces derniers temps un phénomène particulier, connu sous le nom de «Tcharmil». Il s’agit de conduites individuelles et collectives, rencontrées essentiellement dans les grands centres urbains, engageant des adolescents et des jeunes adultes et se manifestant sous de nombreuses facettes. Même si le phénomène a connu une inflation médiatique, pas forcément toujours justifiée, il n’en demeure pas moins qu’il mérite réflexion avec un abord multidisciplinaire et multiaxial… Car au-delà de ce mouvement spécifique, ce sont toutes les expressions de la violence commise par les jeunes qui sont en question, y compris celle des stades et autres.Extrait de la contribution La violence chez les jeunes marocains le cas du Wharmi4 avis du Psy Professeur Jallal Taoufiq
