Entre modernité éclatante et mémoire blessée, Apollinaire orchestre un chant d'ivresse et d'aube. De « Zone » au « Pont Mirabeau », la ville, l'amour, l'exil et la joie se répondent, portés par une langue libre, fulgurante, qui réinvente les formes. Le quotidien y prend feu, les mythes revivent, Paris devient vigne et rivière. Une traversée sensuelle et lumineuse, où chaque poème ouvre un passage secret vers l'inconnu, le temps, et nos propres vertiges intérieurs.