Léon Bloy, fidèle à La Salette, dénonce l’apostasie bourgeoise et son vide spirituel, réduit aux biens matériels que sainte Thérèse d’Avila nommait « excréments du diable ». Dans ce texte virulent, il critique des catholiques indignes de leur civilisation et affirme qu’aucun salut n’est possible sans un retour au Christ-Roi.