Treatment in progress...
Close notification

Our telephone...

is currently not working. We're doing all we can to get the problem solved as soon as possible. 
In the meantime, please use e-mail to contact us.

Display notification

À l'ombre de Pouillon

Barazzetta Giulio
Publication date 23/06/2017
EAN: 9782952036559
Availability Missing temporarily
À l’ombre de Pouillon propose un voyage dans l’œuvre française et algérienne de Fernand Pouillon et « tente de résumer le destin de son œuvre de 1986 à nos jours, et son rôle dans l’architecture contemporaine ». Ainsi G. Barazzetta, architecte italie... See full description
Attribute nameAttribute value
Common books attribute
PublisherTRANSVERS TOUL
Page Count80
Languagefr
AuthorBarazzetta Giulio
FormatPaperback / softback
Product typeBook
Publication date23/06/2017
Weight104 g
Dimensions (thickness x width x height)0.60 x 12.00 x 18.00 cm
À l’ombre de Pouillon propose un voyage dans l’œuvre française et algérienne de Fernand Pouillon et « tente de résumer le destin de son œuvre de 1986 à nos jours, et son rôle dans l’architecture contemporaine ». Ainsi G. Barazzetta, architecte italien praticien et enseignant, éclaircit le retentissement que l’architecture romaine de la Provence a pu exercer sur l’art de F. Pouillon et met en évidence que cette influence est de plusieurs natures. Il rappelle les livres du XVIe au XVIIIe siècle qui ont prolongé l’influence monumentale romaine jusque pour lui-même le rôle d’Aldo Rossi dans cette prise de conscience. Sans s’y attarder, l’auteur situe les réalisations plus qu’il ne les décrit. Il questionne la réussite exceptionnelle et durable de l’œuvre et sa capacité à créer la ville. Est-ce le fait de sa culture italienne ? Tout comme la Biennale de Venise l’avait fait en 1982, Giulio Barazzetta attribue à l’œuvre algérienne de la seconde période les qualités qu’elle mérite, en restituant une part des choix intellectuels et culturels de F. Pouillon pour réaliser une œuvre qui reste de premier plan. Le petit ouvrage s’achève sur le chapitre « ce que j’ai appris » en quatre points que F. Pouillon n’aurait certainement pas renié.