« La be^te sauvage...Il faut la chercher, l’attendre, la rechercher. Elle est si intelligente, si fine, si ruse´e ! Elle connai^t tellement bien son me´tier de be^te libre. Heureusement, elle laisse quelques traces de ses ‘ ro^deries ’. Quelques signes discrets, ici et la`, que vous apprenez a` lire en regardant partout. Alors apparaissent sous vos pas la feuille se`che de l’e´rable, les bogues des faines, les beaux cailloux. »