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La Sagesse de l'Astronome

VERDET Jean-Pierre
Publication date 15/03/2006
EAN: 9782915543124
Availability Available from publisher
Jean-Pierre Verdet est licencié de mathématiques et devient docteur ès-sciences en 1975 à l’Université Paris VII. En 1963, il entre à l’Observatoire de Paris, où, après avoir étudié la couronne solaire, il inaugure l’astronomie infrarouge en France, ... See full description
Attribute nameAttribute value
Common books attribute
PublisherEDITIONS DU 81
Page Count112
Languagefr
AuthorVERDET Jean-Pierre
FormatPaperback / softback
Product typeBook
Publication date15/03/2006
Weight120 g
Dimensions (thickness x width x height)1.00 x 10.50 x 20.00 cm
Jean-Pierre Verdet est licencié de mathématiques et devient docteur ès-sciences en 1975 à l’Université Paris VII. En 1963, il entre à l’Observatoire de Paris, où, après avoir étudié la couronne solaire, il inaugure l’astronomie infrarouge en France, puis étudie le rayonnement des planètes dans ce domaine de longueur d’onde. Il dirige ensuite le Département d’astronomie fondamentale de l’Observatoire de Paris. De 1976 à 1997, date à laquelle il quitte l’Observatoire, il consacre la moitié de son activité à l’histoire de l’astronomie ancienne avec l’équipe pluridisciplinaire qu’il réunit à l’Observatoire pour traduire des textes astronomiques latins, grecs et arabes. En 1991, il collabore à la première Nuit des Étoiles avec Daniel Kunth, Hubert Reeves dans une émission télévisée sur Antenne 2, diffusée simultanément sur France Inter. « J’eus donc enfin la curiosité d’entrer dans le hall nord de l’observatoire. Je suis resté là, un long moment, immobile, foudroyé par la beauté sévère de cette entrée aux voûtes impressionnantes. Et je décidai instantanément que je serais astronome ! Deux ans plus tard, je l’étais. Bien sûr, le ciel m’avait intrigué comme il intrigue tous les enfants. Lorsque ma grand-mère me montra la lune pour la première fois, j’avais un peu moins de trois ans, je fondis en larmes, sans que l’on sache si c’était de plaisir, d’émotion ou d’effroi. Et même sans que l’on sache si la cause en était la lune ou simplement le doigt de ma grand-mère. Car, quoi que dise le proverbe chinois, lorsqu’on vous montre la lune, il faut certes la regarder, mais le doigt qui vous la montre n’est pas moins intéressant. »