À l'époque où la sculpture parade dans des poses académiques, Rodin « s'alimente et se réconforte » à la vue des formes humaines, dont il quête la vibration, la puissance, la crudité. L'artiste ne sculpte pas simplement des corps humains ; avec lui, c'est la condition humaine qui prend corps, dans une liberté d'approche de plus en plus débridée.
