La voix d’une femme disparue depuis des années, une maison de poupées, un parc en Touraine, un cabinet secret et des jeux de masques, des figures de marionnettes... Un rêve ? Que croire quand tout dans ce Salon d?‘automne se joue à un fil et que le jeu des miroirs nous fait sans cesse passer du simple au double ? Est-ce le fil d’un funambule dont la raison vacille dans la crainte d’un faux-pas ? Celui du marionnettiste prêt de se rompre pour laisser libre cours au mannequin qui lui échappe ? Ou les fils du récit qui s’entrecroisent pour ne plus se dénouer et nous empêcher de démêler le vrai du faux, le songe du souvenir, la folie de l’imagination.