Entre celles qui sont partiesEt ceux qui restentCe long déboîtementDe bout en boutAube et crépuscule Trop tôt ou trop tardNous sommes les pièces désarriméesD’un récit qui s’est trop longtempsÉcrit en niant nos légendesMots ravalés cris enfouisUne agonie de papier