Qu'il se passionne pour l'oeuvre d'un Beethoven, d'un Giacometti, d'un Lévi-Strauss ou pour la vie quotidienne des habitants de Bagnolet, qu'il utilise les genres ou qu'il en crée de nouveaux, Georges Aperghis émet la même force coercitive qui fait qu'une mosaïque se transforme en un univers parfaitement cohérent, dans une même ligne, toujours dirigé vers un point fixé très loin à l'horizon.