Bernhard joue avec la légende : Kant n'a jamais quitté sa ville de Königsberg ? Le voici sur un paquebot à destination de New York. Kant, l'éternel célibataire ? Le voici flanqué, en plus de l'inévitable domestique, d'une épouse et d'un perroquet répondant au doux nom de Friedrich. Le paquebot devient le microcosme d'un monde voguant joyeusement à la dérive.