" Après avoir passé un doigt sur la surface du texte pour en apprécier le grain, lire. Une première fois. Résonance du choc. Dégringolade en pied de page. On a lu pourtant, et reconnu les grands équilibres, la structure grammaticale ou la tonalité de sa langue maternelle. Mais on n'a rien compris. On recommence, on repasse. On pose ses coudes de part et d'autre, il faudra bien que le texte s'attable. Mais pour y parvenir, il faudra ruser avec lui : tourner autour, le lire dans toutes les pièces, le maltraiter et le surprendre, le faire rire, le séduire. Alors il vous donnera tout, ou presque. " " Un merveilleux opuscule. " Roger-Pol Droit, Le Monde des livres " Un petit livre qui se lit en roue libre, transmet la jubilation de pédaler dans les côtes, ce qui est au fond une bonne manière de comprendre. (..) à portée de toutes les bourses et à lire d'urgence ". Catherine Portevin, Philosophie Magazine " Ce vade-mecum, outre sa drôlerie, se révèle une invitation bienvenue au courage devant les ouvrages ardus. Telle celle qu'on lancerait à un cyclotouriste au pied du mont Ventoux : osez ! " François Montpezat, Les Dernières nouvelles d'Alsace " Olivier Haralambon nous amène à nous sentir légitimes de lire tous les Merleau-Ponty, Bourdieu ou Wittgenstein qui nous efferaient tant. Chaleureux et drôle, à offrir ou à s'offrir ! " Librairie Arthaud, Grenoble " C'est pourquoi ce petit traité sur l'art et la manière de ne pas se laisser démonter est si sympathique et si salutaire. Il encourage le lecteur amateur et l'étudiant à viser haut, à tenter l'effort de lire des livres trop grands pour son endurance. (...) Au-delà de la parabole et de la parodie, Olivier Haralambon fait oeuvre utile. (...) Par les temps qui courent, on en a bien besoin. " Sophie Creuz, RTBF
