La qualité de vie apparaît souvent comme l'une des préoccupations essentielles des agriculteurs, qui aspirent à des conditions de travail semblables à celles des autres catégories socioprofessionnelles. Cependant, leurs conditions professionnelles, qui dépendent aussi des choix effectués, des voies empruntées, sont-elles si marginales ? Et l'évolution va-t-elle bien dans le sens recherché ?