Il devenait indispensable de rajeunir le texte fondamental du Littré de la Grande Côte paru en 1894 et de le présenter sous la forme inverse, du Français au Lyonnais, afin de favoriser l’écriture et le parler de notre ancien langage. L’auteur s’appuie sur la littérature lyonnaise. Nous y retrouvons la « quintessence » de l’esprit de Lyon, illustré de vignettes anciennes.