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NAPOLEON JOUR APRES JOUR : LE DRAME DE SAINTE-HELENE

Roger IAPPINI
Publication date 02/07/2018
EAN: 9782812709890
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Ce livre, le dernier de la série Napoléon jour après jour, va nous emmener à l’île de Sainte-Hélène.Après soixante-neuf jours de traversée, Napoléon pose le pied sur cette île qui va être son carcan. Là, il va découvrir une terre peu accueillante, pe... See full description
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Common books attribute
PublisherPRESSES DU MIDI
Page Count479
Languagefr
AuthorRoger IAPPINI
FormatPaperback / softback
Product typeBook
Publication date02/07/2018
Weight798 g
Dimensions (thickness x width x height)4.00 x 14.00 x 24.00 cm
Ce livre, le dernier de la série Napoléon jour après jour, va nous emmener à l’île de Sainte-Hélène.Après soixante-neuf jours de traversée, Napoléon pose le pied sur cette île qui va être son carcan. Là, il va découvrir une terre peu accueillante, perdue dans l’atlantique sud, loin de tout continent. Il va devoir subir un climat qui lui sera néfaste, et vivre dans une maison rongée par l’humidité et infestée de rats. Depuis son départ de France, il est entouré de trois généraux avec leur famille, de Las Cases qui va écrire « Le mémorial » ainsi que des domestiques fidèles qui vont l’accompagner dans sa longue agonie.De longues journées d’ennui, tantôt bien, tantôt malade, et puis va arriver son geôlier, Hudson Lowe. À partir de ce moment-là, il va subir des brimades perpétuelles, des sanctions pour lui et ses proches. Des interdictions d’aller çà et là, son espace sur l’île va être très restreint. Hudson Lowe va s’acharner contre lui et lui faire mener une vie austère.Enfin, ce sera les souffrances d’une longue maladie. Pendant des mois, il va souffrir de vives douleurs dans le ventre. Les remèdes que l’on va lui donner n’arrangeront rien à sa maladie dont l’origine se découvrira seulement après son autopsie. Car oui, l’Empereur Napoléon décédera le 5 mai 1821.Hudson Lowe refusera que l’on transporte sa dépouille en France. Il faudra attendre dix-huit années, sous le règne de Louis Philippe pour qu’enfin son corps puisse reposer au bord de la Seine, au milieu du peuple français qu’il a tant aimé.