« Naviguer les jours » est semblable à une traversée où chaque mot frôle l'invisible.Dans ce recueil, les poèmes sont des fragments de luttes silencieuses, de brûlures indicibles, d'abysses qui murmurent, entrelaçant douleur et douceur. Chaque page est une empreinte laissée sur le coeur, et une invitation à se laisser toucher par la beauté fragile de ce qui, en dépit des vents contraires, demeure lumineux et vivant.