Alors que le nombre de passagers double tous les douze ans, les résultats financiers des grandes compagnies sont désastreux. En cause : les dirigeants des compagnies aériennes, mais également des aéroports, qui ont perdu le contact avec leurs clients.Mais il y a des lueurs d'espoir. Certaines compagnies aériennes tirent leur épingle du jeu et quelques aéroports sont devenus des endroits comparables à des hôtels de luxe, accessibles à tous. Et puis, une prise de conscience tardive se manifeste dans les discussions avec les dirigeants des compagnies aériennes.Pendant trois ans, Jean-Louis Baroux, au fil de chroniques rédigées pour les lettres électroniques professionnelles, a scruté le secteur du transport aérien et ses paradoxes. Il livre dans ce recueil le fruit de ses réflexions.