Nouvelle éditionLa vie aurait été bien triste s'il n'y avait pas eu le Pop Club de José Artur. Il a convoqué la terre entière devant son micro et chacun, à son écoute, devenait plus éclairé et plus talentueux. Ce noctambule impénitent a noté, au fil des années, avec cet humour que l'intelligence rend féroce, des remarques, réflexions, considérations en tous genres : " Je me suis marié une fois à l'église, deux fois à la mairie, le reste, à la sauvette " ; " Elle était près de ses sous et moi, encore plus près des siens. " José Artur nous affirme que son chien Fouillis l'a beaucoup aidé. Mais parce que le chien, lui, est modeste, c'est le maître qui s'exprime ici, avec un égal " mordant ". Jamais méchant mais toujours impertinent, insolent et drôle, il a créé au micro un ton nouveau, élégant et disert, où l'humour ne le cède qu'à l'acuité critique. Qu'on en juge !" Quand je m'ennuie, je me fais un chèque. " " J'ai arrêté d'envoyer des vieux habits à l'abbé Pierre... IL NE LES MET JAMAIS ! "