Treatment in progress...
Close notification

Did you know that ?

SIDE has worked with its suppliers to make our parcels environmentally friendly.
No more plastics !
The tape that keep our parcels tightly shut and the wedging material that immobilizes books within the cartons are now made of fully recyclable and biodegradable materials.

Display notification

Cantiques spirituels de l’Amour divin

Surin Jean-Joseph, Papasogli Benedetta
Publication date 28/11/2025
EAN: 9782745363961
Availability Not yet published: 28/11/2025
Les Cantiques spirituels de l’Amour divin du jésuite Jean-Joseph Surin (1600-1665), composés pendant les années les plus sombres de la vie de leur auteur, ont attendu des siècles avant d’être relus et scrutés dans l’originalité de leur message. La « ... See full description
Attribute nameAttribute value
Common books attribute
PublisherCHAMPION
Page Count368
Languagefr
AuthorSurin Jean-Joseph, Papasogli Benedetta
FormatPaperback / softback
Product typeBook
Publication date28/11/2025
Weight-
Dimensions (thickness x width x height)1.70 x 15.50 x 23.50 cm
Les Cantiques spirituels de l’Amour divin du jésuite Jean-Joseph Surin (1600-1665), composés pendant les années les plus sombres de la vie de leur auteur, ont attendu des siècles avant d’être relus et scrutés dans l’originalité de leur message. La « voie excessive » de Surin y trouve son expression la plus accomplie ; presque à chaque page, le choc des contraires y est à l’ordre du jour : les nuits et les aurores, la perte et l’ivresse, la descente dans l’abîme et le recueillement dans la demeure, ces contrastes viennent enrichir un récit de soi et une peinture de l’Amour qui, d’autre part, retracent avec une grande liberté les trois voies de la vie spirituelle (purification, illumination, union). Pour la première fois, des sources cachées du texte de Surin font surface : non seulement la mystique espagnole ou italienne, mais aussi l’amour véhément, « violent », des traités du Moyen Âge qui ont contribué à façonner la forme occidentale de l’amour. La présence des partitions (les « airs notés » des chansons profanes sur lesquels ces poèmes étaient chantés) restitue l’ombre de l’intransmissible : la douceur du « luth » intérieur dont Surin était à l’écoute et dont la simplicitas des vers et des timbres se veut reflet et écho.