Treatment in progress...

L'École à 2 ans : est-ce bon pour l'enfant ?

Golse Bernard, Brisset Claire
Publication date 31/08/2006
EAN: 9782738118226
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?En France, les enfants peuvent entrer en maternelle, dès l'âge de 2 ans. C'est le moment où ils acquièrent leur individualité, où ils se construisent physiquement et psychiquement. Ils organisent leurs relations avec leurs parents, puis avec le grou... See full description
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Common books attribute
PublisherJACOB
Page Count209
Languagefr
AuthorGolse Bernard, Brisset Claire
FormatPaperback / softback
Product typeBook
Publication date31/08/2006
Weight292 g
Dimensions (thickness x width x height)1.50 x 16.50 x 22.00 cm
?En France, les enfants peuvent entrer en maternelle, dès l'âge de 2 ans. C'est le moment où ils acquièrent leur individualité, où ils se construisent physiquement et psychiquement. Ils organisent leurs relations avec leurs parents, puis avec le groupe et acquièrent le langage. Mais ce sont encore des "bébés" : ils ont besoin de sommeil, d'attention, de protection et d'affection. L'école d'aujourd'hui est-elle adaptée à ces petits ? Quel est pour eux le meilleur mode d'accueil respectant leurs besoins fondamentaux ? On sait que les étapes ultérieures du développement ne peuvent être réussies que si les précédentes se sont réalisées dans de bonnes conditions. Avant d'entrer à l'école, l'enfant doit acquérir sa sécurité interne. C'est une pièce essentielle du "droit à l'enfance".Autour de Claire Brisset, ancienne défenseur des droits des enfants, de Bernard Golse, professeur de pédo-psychiatrie, et de Boris Cyrulnik, psychiatre, spécialiste de l'attachement, les meilleurs spécialistes de l'enfance sont réunis : les psychiatres Roger Misès et Geneviève Haag, le pédiatre Julien Cohen-Solal, le linguiste Alain Bentolila, Martine A. Pretceille, professeur des sciences de l'éducation, et Hubert Montagner, spécialisé dans les rythmes du très jeune enfant. Ils nous éclairent sur le développement de l'enfant et donnent leurs arguments pour convaincre que, dans la grande majorité des cas, la scolarisation précoce néglige les besoins fondamentaux des enfants.