On referme le vieux recueil,L’air s’emplit d’un doux accueil.Les bons mots fuient en liberté,Refusant l’ombre et la clarté.Il nous livre, son dernier soupir,Les pages volent, prêtes à s’enfuir.Des récits glissent dans la lumière,Criant au monde toute leur colère.Magique envolée, nostalgie fugace,Chaque conte, laisse une belle trace.Symboles vivants d’un rêve en voyage,Les mots se refusant de quitter la page