« Laissez-moi souffrir, je comprends vos inquiétudes, vos angoisses. Mais bon sang ! J'ai le droit de me renfermer sur moi-même. J'ai le droit de pleurer en silence et de hurler mes blessures. Laissez-moi souffrir, laissez-moi choir, laissez-moi broyer du noir ! Quand la lumière s'éveillera à moi, alors je serai prête à relever tous les défis. Je serai plus forte encore. Ne me suis-je jamais relevée de toutes mes épreuves ? Alors croyez en moi. Je reviens. Je suis toujours là. Je reviens vite. Mais laissez-moi le temps de décupler mes forces. »