Treatment in progress...

Armande Cornix sauve le monde (enfin, presque)

Nail Guillaume, Goerg Sacha
Publication date 10/05/2023
EAN: 9782408038045
Availability Available from publisher
Son nom est Cornix. Armande Cornix.Du moins c'est le pseudonyme que s'est choisi Emma Lefèvre, une ado qui se fait une joie d'éprouver jusqu'aux dernières limites la patience de ses amis comme de ses parents. Pour l'heure, elle s'apprête à passer les... See full description
Attribute nameAttribute value
Common books attribute
PublisherMILAN
Page Count192
Languagefr
AuthorNail Guillaume, Goerg Sacha
FormatPaperback / softback
Product typeBook
Publication date10/05/2023
Weight228 g
Dimensions (thickness x width x height)1.00 x 14.00 x 20.50 cm
Son nom est Cornix. Armande Cornix.Du moins c'est le pseudonyme que s'est choisi Emma Lefèvre, une ado qui se fait une joie d'éprouver jusqu'aux dernières limites la patience de ses amis comme de ses parents. Pour l'heure, elle s'apprête à passer les pires vacances de sa vie : une semaine en hôtel-club à la Réunion avec sa mère. Le seul moyen d'échapper à la torture du club ados et à l'enthousiasme forcé des gentils animateurs : se servir des activités organisées pour dénoncer les conditions de travail des employés de l'hôtel. Mais son enquête la mène sur des pistes dangereuses... et pas uniquement pour elle.Une anti-héroïne attachante... malgré toutArmande a une personnalité pour le moins explosive. Pourtant, elle ne demande pas grand-chose. Rien de plus que la liberté de dire et de faire ce qu'elle veut quand elle veut. Et si, en plus, on pouvait l'aimer comme elle est, ce serait parfait ! Est-ce trop demander ?Un roman foisonnant à la forme originaleDans la tête d'Armande règne un bazar qu'on retrouve dans le texte de ce roman singulier, dans lequel s'intercalent des pages de journal, des nuages de mots, des extraits de pièces de théâtre ou de synopsis de film, des listes, des notes, des pense-bêtes et même... des faux passeports !« C'est une réussite ! Loufoque, enlevé, survolté, son nouveau roman se lit tambour battant. » Michel Abescat, Télérama