Wahid vivait désormais seul. Il n’avait personne pour le soutenir, compatir à ses malheurs, hormis sa foi. Après l’obtention de son magister consacré à l'étude du Saint Coran, il parvint à écrire un premier livre. Certaines maisons d'édition le trahirent : certaines plagièrent son œuvre, d'autres le spolièrent du produit de ses ventes. Une seule se révéla fiable et honnête : les Éditions de l'Ami. Elle publia ses nombreux travaux — romans, essais, recueils poétiques, son étude sur les textes sacrés et quelques analyses littéraires