Carnet d'un monastère des Ardennes
Le long séjour dans la solitude et le silence d‘un monastère ardennais a des circonstances particulières. En citantRilke et Kafka il parle du sujet La blessure et la grâce. Par cette ouverture l’hôte chercheurest très touché, il commence aprendre notes, de tout les détails significatifs et citation révélantes, même pendant les homélies (parfois par des femmes). Unmoine lui dira après un certain temps: " Tu es un reporter de l’Eucharistie".Les jours se suivent dans ce rythme d'attente pleine de silence, de patience et d’humilité, avec une magnifique interruption le 8décembre lors de la grande fête mariale. L‘auteur est éblouit et commence à écrire deux chapitres sur la Sainte Vierge et saintJoseph, vus par ses yeux d‘étranger. Plus tard des portraits du patron saint Remacle, venu comme évêque de Maastricht du petitpays des trois frontières belges neerlandaisesallemandesen donnant un nouveau souffle spirituel à l’abbaye double de plus en plus riche.
