Les soixante-neuf poèmes qui composent Ciel, Bas, Seuil vagabond s'expriment au sein d'une société injuste et absurde, au sein d'un « moi » étrange, concret, alcoolisé, perdu et en quête d'amour et de liberté.Certains titres donnent la marche à vivre, bien mieux que la poétesse ne pourrait le faire :« Tapis alcooliques »« Nous sommes des mutants austères »« Jointures sanglantes. Souhaite la paix. Salaud. »Des sorties poétiques qui déchaussent et provoquent les coeurs.