Dans ce pays-Guadeloupe, il y a des fanm « a grenn », des fanm « chatengn », des fanm « doubout », des fanm« flanm »… Il y a aussi des femmes comme Marta, marquée par une déveine qui se transmet de génération en génération. Est-ce une fatalité ?Dans son enfance, José Jernidier a souvent vu des femmes souffrir et parfois rire pour ne pas pleurer, mais en ce temps-là, il ne fallait pas répéter les paroles des grandes personnes. Chuut ! Kwa si bouch !