Partager, transmettre le goût du haïku
Au rythme des années, et des minuscules recueils de mes cartes de vœux, dont je reproduis ici intégralement le contenu, j’ai associé une méditation libre, qui explore différentes entrées dans l’écriture de haïkus, en décrivant ce qui travaille en moi, se cherche, hésite et se rature dans les griffures de mes petits carnets, jusqu’à ce que je sente le mot tomber aussi juste que le petit coup de gong d’un coing qui tombe dans mon jardin, et sous l’arbre que Jean-Hugues a planté.