Le printemps de ma vie s’en est depuis alléDe sa lumière vive de reste plus que de troubles pastels.Le soleil en déclin a repris ses parfums halésSes matins d’été où s’envolent les oiseaux.Désormais dansent dans l’aurore les chimères oubliéesPrises déjà dans le souffle de l’hiver éternelIndiscrètes, elles me susurrent dans les frémissements orangés :« Il n’y aura plus d’été mais est ce qu’octobre sera beau ? »