Des marelles, des chants d’enfanceFixés à jamaisDans l’allée des souvenirsLe reflet dans les rivières, plus ou moinsEt les cailloux sur le cheminDe puissantes bourrasquesDe lourds sermentsManqués, souventMarquantsChacun son lotD’illusions improbablesDe châteaux de sableDe coups, d’erreursDe pleursMais tout à côté, si fortuitementQu’ils semblent cachés au commun du mondeSentir des joyaux de quelques secondesEt réaliser que vivre est charmant