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Ipséité et subjectivité : possibilité d’une phénoménologie de la chair et d’auto donation de la vie

DOUMDE Sylvestre
Publication date 24/07/2018
EAN: 9782334160643
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« Par phénoménologie de la vie radicale, M. Henry inaugure une nouvelle analyse et compréhension de la réalité en philosophie et phénoménologie, mettant en question les principes fondamentaux de la phénoménologie historique d’Edmund Husserl. Au fond,... See full description
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PublisherEDILIVRE
Page Count330
Languagefr
AuthorDOUMDE Sylvestre
FormatPaperback / softback
Product typeBook
Publication date24/07/2018
Weight6 g
Dimensions (thickness x width x height)2.60 x 17.00 x 24.00 cm
Réflexion sur la « congruence » entre la phénoménologie de la vie et le christianisme chez Michel HENRY
« Par phénoménologie de la vie radicale, M. Henry inaugure une nouvelle analyse et compréhension de la réalité en philosophie et phénoménologie, mettant en question les principes fondamentaux de la phénoménologie historique d’Edmund Husserl. Au fond, ce n’est plus le phénomène et sa phénoménalité qui intéressent M. Henry, mais le "comment" de la phénoménalité ou le fondement phénoménologique de celle-ci qu’il entend analyser. C’est ainsi que le titre de l’œuvre fondatrice de cette nouvelle perspective phénoménologique, à savoir L’essence de la manifestation publiée en 1963 se propose de donner également le "fondement" permettant d’élucider ce « comment » de la phénoménalité en tant que tel. En d’autres termes, cet ouvrage a pour mission d’établir l’essence de la manifestation, non pas du phénomène dans la sphère transcendantale, mais dans celle de l’immanence. Ce fondement de l’essence de la manifestation est inspiré de l’ontologie du corps de Maine de Biran, dont la Philosophie et phénoménologie du corps, Essai sur l’ontologie biranienne de 1965 en est l’actualisation. S’appuyant sur l’étude du corps dans les ouvrages de Maine de Biran, M. Henry dégage une phénoménologie du corps affectif dont sa phénoménalité est le pathos. Un corps affectif est apte à s’éprouver soi-même parce qu’il est corps vivant, c’est-à-dire une subjectivité (la vie). »