Suivie des analogies du désert, pour le silence intérieur que nous importons à l’extérieur
L’enfance perpétuelle de la raison, suivie des analogies du désert, pour le silence intérieur que nous importons à l’extérieur.Des expériences religieuses, les unes heureuses, les autres interrogatives. - Des religieux pleinement humains, dans l’unité de la foi, de la science, de la religion, de la culture et de la grandeur d’âme. - Des scientifiques pleinement savants dans l’unité du sentiment religieux, de la science et des rationalités multiples. - Des intellectuels pleinement humains : ils puisent leurs humanismes et spiritualités, non dans la religion, parce qu’areligieux, mais de leurs profondeurs, comme quête personnelle et intérieure de spiritualité. - Les mystiques du désert géographique pour le silence intérieur que nous importons à l’extérieur : vulnérabilité de l’être qui n’est pas pauvreté, mais disponibilité de l’être…De l’autre bout : - Des éloges de la laïcité de la raison. - Des religions sans Dieu, ou « le pur religieux ». - La foi éthérée comme un universel abstrait, coupé de Dieu. - Des religieux sans religion, à travers le sermon plus socialisant, moins exégétique, sans livre sacré à la main. - Des religions sans cultures référentielles de ces religions…Ce livre est une didactique de la religion, de la foi, de la raison et de l’intériorité.