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La vie, la guerre et puis rien

Fallaci Oriana, Remillet Jacqueline
Publication date 07/02/2020
EAN: 9782251450643
Availability Available from publisher
La vie, la guerre et puis rien est un témoignage essentiel sur le conflit du Vietnam. Oriana Fallaci débarque à Saigon en novembre 1967 comme correspondante du journal l’Europeo. Elle est la seule journaliste italienne à couvrir cette guerre lointain... See full description
Attribute nameAttribute value
Common books attribute
PublisherBELLES LETTRES
Page Count460
Languagefr
AuthorFallaci Oriana, Remillet Jacqueline
FormatPaperback / softback
Product typeBook
Publication date07/02/2020
Weight455 g
Dimensions (thickness x width x height)3.50 x 12.60 x 19.10 cm
La vie, la guerre et puis rien est un témoignage essentiel sur le conflit du Vietnam. Oriana Fallaci débarque à Saigon en novembre 1967 comme correspondante du journal l’Europeo. Elle est la seule journaliste italienne à couvrir cette guerre lointaine. Ses articles connaissent un immense succès et sont traduits dans le monde entier. Son courage devient légendaire, son culot et son franc-parler aussi.La guerre, Oriana Fallaci l’a connue enfant quand elle faisait partie du réseau de résistance antifasciste créé par son père, mais c’est la première fois qu’elle enfile le treillis du reporter de guerre qu’elle portera ensuite sur de nombreux autres fronts. À peine rentrée du Vietnam en 1968, elle est blessée de trois balles dans le dos pendant le massacre de Tlatelolco à Mexico, dix jours avant l’ouverture des Jeux Olympiques. « J’ai compris pourquoi on dit que cette guerre est complètement différente de toutes les autres, elle n’a pas un front précis, le front est partout », écrit-elle. Attentats, représailles, offensives menées en pleine ville comme durant celle du Têt à la fin du mois de janvier 1968, Oriana Fallaci ne se contente pas de raconter les événements, elle dit aussi son dégoût profond de cette guerre et de toutes les autres, renvoyant dos à dos ses responsables. Le livre vaut aussi pour la description des rapports de la petite confrérie de journalistes qui tentent de suivre le conflit au plus près. 70 d’entre eux y laisseront leur vie. Oriana Fallaci est morte en 2006.