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Histoire de l'OAS

Fleury Georges
Publication date 30/10/2002
EAN: 9782246604518
Availability Available from publisher
L'Organisation de l'Armée Secrète est née à Madrid le 11 février 1961. Ses fondateurs, Pierre Lagaillarde et Jean-Jacques Susini, en offrent très vite la tête au Général Salan. Cette organisation, née dans la crainte et dans la colère de perdre l'Alg... See full description
Attribute nameAttribute value
Common books attribute
PublisherGRASSET
Page Count1048
Languagefr
AuthorFleury Georges
FormatOther book format
Product typeBook
Publication date30/10/2002
Weight1416 g
Dimensions (thickness x width x height)0.00 x 15.40 x 24.00 cm
L'Organisation de l'Armée Secrète est née à Madrid le 11 février 1961. Ses fondateurs, Pierre Lagaillarde et Jean-Jacques Susini, en offrent très vite la tête au Général Salan. Cette organisation, née dans la crainte et dans la colère de perdre l'Algérie française, regroupa, après l'échec du putsch d'Alger, en avril 1961, des militaires déserteurs, d'anciens agents secrets, des monarchistes, des Pieds-noires refusant le départ, des fascistes... L'O.A.S. resta, jusqu'à sa disparition, une nébuleuse violente et opaque.Alors que les généraux Salan et Jouhaud commandent l'O.A.S. en Algérie, l'organisation lance en métropole une campagne terroriste. L'objectif ? Faire revenir De Gaulle sur son projet d'auto-détermination des populations algériennes. Mais ces actions n'ont pour effet que de présenter l'O.A.S. comme un repoussoir... Pourtant, des hommes politiques - dont les noms sont ici dévoilés - suivront dans l'ombre ses actions, jusqu'à l'attentat manqué cotnre Malraux, le 7 février 1962, qui défigura une fillette et suscita la réprobation nationale.Désormais privée de certains soutiens, l'O.A.S. continuera un combat désespéré et brutal. L'O.A.S. « tiendra » Oran pendant deux mois, malgré les efforts du général Katz ; ses hommes de main, les « deltas », procèderont à des éxecutions en plein Alger ; elle viendra même à bout des « barbouzes » recrutés sur ordre de l'Elysée... Jusqu'à ce que Jean-Jacques Susini se décide à traiter avec le FLN. Mais trop tard - la très grande majorité des Français, lassée des haines et des bombes, s'est depuis longtemps faite à l'idée que « l'Algérie française » était une cause perdue.