Ce qui nous rend la vie infernale, c'est les autres. Y compris nous-même, puisque chacun est aussi l'autre d'autrui. On part ici de choses terriblement concrètes comme le bruit des voisins, les portables, etc. On évoque ensuite des réalités plus abstraites comme le politiquement correct ou la prétention de faire le bonheur des autres sans leur demander leur avis. Enfin, on remonte à ce qui apparente ces fléaux plus ou moins minuscules : le sans-gêne ; l'inconséquence (faites ce que je dis, ne faites pas ce que je fais) ; l'irresponsabilité. Ces fléaux ou ces super-fléaux sont décrits dans la bonne humeur.