Le « De cultu feminarum » s'inscrit dans la série des écrits parénétiques de Tertullien. S'adressant aux femmes de Carthage dont il voudrait limiter la coquetterie, il n'excède pas la longueur d'un « sermon » divisé en deux parties : la première traite plus spécialement des bijoux et de la parure, l'autre des soins apportés au corps, fards et coiffures en particulier.