Le sujet des deux ouvrages est l'éloge de l'état de viduité. Le discours « Ad viduam juniorem », adressé à la veuve de Thérasios, joint aux consolations une exhortation à persévérer dans la viduité, dont la grandeur et les mérites sont célébrés le traité « Peri Monoandrias » incite les femmes qui n'ont été mariées qu'une fois à considérer la supériorité de la viduité sur les secondes noces et à s'engager dans la voie la plus digne du chrétien.