Treatment in progress...
Close notification

Our telephone...

is currently not working. We're doing all we can to get the problem solved as soon as possible. 
In the meantime, please use e-mail to contact us.

Display notification

Mao

Halliday Jon, Chang Jung, Vierne Béatrice, Liébert Georges
Publication date 10/02/2011
EAN: 9782070441396
Availability Available from publisher
"Mao Tsé-toung, qui pendant vingt-sept ans détint un pouvoir absolu sur un quart de la population du globe, fut responsable de la mort d'au moins soixante-dix millions de personnes en temps de paix, plus que tout autre dirigeant au XX? siècle." Ces l... See full description
Attribute nameAttribute value
Common books attribute
PublisherFOLIO
Page Count768
Languagefr
AuthorHalliday Jon, Chang Jung, Vierne Béatrice, Liébert Georges
FormatPaperback / softback
Product typeBook
Publication date10/02/2011
Weight395 g
Dimensions (thickness x width x height)3.60 x 11.00 x 17.70 cm
L'histoire inconnue
"Mao Tsé-toung, qui pendant vingt-sept ans détint un pouvoir absolu sur un quart de la population du globe, fut responsable de la mort d'au moins soixante-dix millions de personnes en temps de paix, plus que tout autre dirigeant au XX? siècle." Ces lignes, par lesquelles s'ouvrent le livre de Jung Chang et Jon Halliday, annoncent clairement leur propos. On ne trouvera pas dans cette biographie un nouveau portrait, plus ou moins hagiographique, du Grand Timonier, ni une évaluation de sa contribution théorique au marxisme-léninisme, résumée dans le Petit Livre rouge et la praxis révolutionnaire "au service des masses". Mao Tsé-toung n'était mû ni par l'idéalisme ni par l'idéologie. S'il adhéra au marxisme-léninisme, c'est avant tout parce que cette doctrine lui permettrait de s'emparer du redoutable instrument de pouvoir qu'avait créé Lénine : le parti unique. Maître du Parti communiste chinois à la fin des années 1930, puis, en 1949, de tous les leviers de commande de son pays, après une meurtrière guerre civile et avec le concours décisif de l'U.R.S.S., Mao devint alors, comme l'a écrit Simon Leys, "le suprême despote totalitaire".