Alors que chaque être humain souhaite éviter de souffrir à l'occasion de sa propre mort, il n'est encore aucun pays qui offre la possibilité d'une mort douce. À ce jour en 2011, aucun pays n'a ouvert un réel droit à la mort choisie. Pourtant, une évaluation d'un tel droit humain conduit à préconiser la création d'un véritable service public du suicide. Il s'agit de mettre à la disposition de ceux qui le veulent une option de mort choisie, sans souffrances subies. Ultime parade contre la souffrance quand il n'en existe plus d'autres, cet enjeu de société concerne les milliards d'êtres humains présents et à venir.
